Communiqué: Nouvelle directrice générale

Le Conseil d’administration de la Clinique juridique communautaire de Hamilton est heureux d’annoncer la nomination de Clare Freeman au poste de directrice générale, à compter du 24 janvier 2022.

Clare a exercé les fonctions de directrice générale dans le secteur à but non lucratif pendant environ 19 ans. Elle possède une vaste expérience en matière de leadership, de stratégie, de relations publiques, de défense des intérêts et de gestion. Elle a siégé à de nombreux conseils d’administration et comités locaux, provinciaux et nationaux, et s’est profondément engagée à redonner à sa communauté en participant à de nombreuses initiatives de justice sociale.

Depuis 2015, Clare occupe le poste de chef de la direction de Dr. Bob Kemp Hospice and Bereavement Services. En outre, elle a déjà exercé les fonctions de directrice générale de la Interval House of Hamilton, de coordonnatrice du counseling du Sexual Assault Centre of Brant, et de professeure d’éducation permanente du programme pour les enfants et les jeunes du Mohawk College. Elle a obtenu un baccalauréat en sociologie de l’Université Western, ainsi qu’une maîtrise en travail social de l’Université York.

Clare est une défenseure passionnée de la justice sociale fondée sur les droits, et elle incarne les principes et les valeurs que défend la Clinique juridique communautaire de Hamilton. Les organisations pour lesquelles elle a travaillé dans le passé lui apporteront une riche expérience qui sera utile à la communauté de Hamilton.

Nous tenons à féliciter Clare pour son nouveau rôle et nous nous réjouissons de continuer à lutter pour l’accès à la justice sous sa direction.

Nous tenons également à exprimer notre profonde gratitude à Hugh Tye pour son leadership exceptionnel en tant que directeur exécutif au cours des 26 dernières années.

 

 

Le Conseil d’administration

Clinique juridique communautaire de Hamilton

 

Déclaration de la Clinique juridique communautaire de Hamilton et du projet de justice queer sur le mois de la Fierté

Le projet de justice queer et la Clinique juridique communautaire de Hamilton sont fiers de s’unir à la communauté LGBTQ+ (lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres, queer, asexuels, intersexuels, pansexuels et de genre non conforme) et à la communauté bispirituelle pour célébrer le mois de la Fierté 2021!

Cette année encore, la pandémie de COVID-19 crée un contexte pour le moins particulier. Pour une deuxième édition consécutive, les célébrations se dérouleront sur fond de mesures de santé publique essentielles qui limitent notre capacité de faire de se rassembler en personne, comme communauté et comme famille. La situation actuelle touche durement la communauté queer, les membres ayant souvent besoin de leurs congénères pour trouver l’acceptation, la compréhension et la sécurité qui leur manquent dans d’autres sphères de leur vie.

Nous traversons certes des moments difficiles, mais les communautés queer ont maintes et maintes fois démontré leur résilience. L’effort déployé à prendre soin de soi et de nos proches et à persévérer tout au long de cette pandémie représente en soi un acte de résistance et d’accomplissement. N’oublions jamais que la Fierté est née d’un acte courageux de protestation lors des émeutes de Stonewall. Le 28 juin 1969, la communauté queer s’est soulevée contre les interventions policières violentes et discriminatoires. D’innombrables luttes pour les droits, les libertés et l’acceptation ont été remportées dans les décennies suivantes, et malgré cela, il reste beaucoup à faire.

Aujourd’hui encore, même ici à Hamilton, les communautés queer sont la cible d’élans de violence qui voudraient nous faire renoncer à notre identité et qui propagent la haine. Nous nous faisons le témoin horrifié et solidaire de la communauté transgenre des États-Unis qui subit les attaques directes de politiciens et de groupes transphobes envers leur droit d’exister dans une multitude d’espaces, tout comme nous soutenons les personnes et les communautés queer du monde entier qui continuent de faire face à la persécution et à la haine. Les communautés queer doivent rester unies pour se protéger mutuellement et s’assurer que personne n’est laissé derrière dans notre lutte continue pour l’égalité de toutes les identités queer et identités intersectionnelles. Malgré ces attaques récurrentes, nous sommes toujours là, toujours fiers.

Le présent est rempli de défis, mais il est aussi porteur d’espoir. Grâce aux efforts inlassables des travailleurs de première ligne et des travailleurs de la santé, grâce à la volonté collective de respecter les mesures de santé publique et grâce aux efforts remarquables déployés dans le développement et, maintenant, l’administration des vaccins, il est permis de croire que le pire de la pandémie sera bientôt derrière nous. Au cours de la dernière année, nous avons tous vu comment une action sociale collective menée sous le signe du courage a forcé la reconnaissance et la contestation du racisme systémique et de la violence policière envers les communautés marginalisées. La pandémie a également mis au jour d’autres systèmes qui alimentent l’inégalité et l’exploitation des travailleurs vulnérables et essentiels, qui sont maintenant nombreux à revendiquer des changements afin de créer un nouveau statu quo plus juste. Les activistes queer et les visions qui leur sont propres aideront sans aucun doute à tracer la voie collective en réponse à ces enjeux et à d’autres questions d’importance.

La dernière année a amené quelques changements au sein du projet de justice queer. Nous avons accueilli un nouveau responsable de projet en la personne de Michael Blashko, et il nous a fallu adapter notre mode de travail en contexte de pandémie en offrant principalement des services virtuels. Même si nous n’avons pas été en mesure d’interagir directement avec la communauté comme nous l’aurions souhaité, chaque échange nous rappelle la force, la détermination et la fierté qui animent chacune de nos communautés queer. En même temps, la situation nous rappelle qu’aucune personne ni aucune communauté n’est obligée d’être forte en tout temps. Il y a de la valeur et de l’authenticité dans le fait d’être vulnérable et d’avoir besoin de prendre du temps pour soi. Nous avons d’ailleurs eu le privilège d’observer de tels exemples au sein de notre famille queer pendant cette période difficile.

Nous avons hâte de célébrer le passé, le présent et le futur des droits et des communautés queer en ce mois de la Fierté, car il y a effectivement tellement à célébrer. Nous ne pourrons peut-être pas festoyer comme nous le voudrions, tous ensemble en personne, mais nous nous réunirons de toutes les façons possibles tout en restant en sécurité.

En vous tous je vois la beauté et la force, et je vous souhaite de célébrer la Fierté dans la joie et la sécurité!!!

 

 

Entrepreneur.e.s noir.e.s

Appel aux entrepreneur.e.s noir.e.s de la grande région de Hamilton !

A l’occasion du mois de l’Histoire des Noirs, le Centre francophone Hamilton souhaitons mettre en lumière les entrepreneur.e.s francophones noir.e.s sur nos médias sociaux ! Alors si vous-même ou une personne que vous connaissez souhaite faire connaître son entreprise, remplissez svp le court formulaire suivant.

https://forms.gle/CbZTcbTsvzwUpBbB9

FrancoFEST 2020

Le Centre francophone Hamilton et le comité organisateur du festival vous invitent à la FrancoFEST 2020, rendez-vous estival de la francophonie qui prend cette année un nouveau format innovant. Diffusé en direct avec des airs d’émission de talents et de variété, le festival va vous surprendre, vous réjouir, mais surtout vous rassembler pour partager un moment fort autour des arts et de la communauté! La Clinique juridique communautaire de Hamilton est fière d’être partenaire de la FrancoFEST 2020.

Cet événement aura lieu le vendredi, 19 juin 2020, de 18h à 20h, sur de multiples plateformes en ligne.

Pour plus d’informations, visitez: https://www.facebook.com/events/565339331080876

Le centre francophone de Hamilton offre également des séances de yoga en français chaque mercredi de 12h à 12h45.

Célébrons le mois de la fierté

Note: Le projet de justice Queer reconnaît que le langage est important. En vue d’ être inclusif, nous utilisons le langage « communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC » pour décoloniser notre travail et pour représenter et affirmer les diverses identités et expériences des personnes. Lorsque nous faisons référence à des événements historiques, nous nous engageons à être aussi inclusifs que possible tout en restant fidèles au langage utilisé lorsque ces événements ont eu lieu. C’est pourquoi le terme LGBT est utilisé dans cet article pour faire référence aux événements historiques où ce terme a été utilisé. Cependant, à l’avenir, le projet de justice Queer utilisera la terminologie plus inclusive des communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC.

Le projet de justice Queer se joint aux communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC (lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels, queer, intersexuels, asexués et genre non-conforme) pour célébrer le mois de la fierté en juin 2020.

Cette célébration qui dure un mois, a lieu en juin pour commémorer l’anniversaire de la rébellion de Stonewall, qui a eu lieu le 28 juin 1969. À cette date, le Stonewall Inn, un bar accueillant des clients LGBT, a fait l’objet d’une descente de police et, dans une démonstration de force et de courage contre l’homophobie et la haine, ses clients LGBT ont réagi dans un acte de rébellion collective,. Plusieurs reconnaissent que Marsha P. Johnson, une militante noire transgenre et une drag queen, a joué un rôle important dans la rébellion de Stonewall.

La rébellion de Stonewall a déclenché des manifestations et a conduit à la création de la première marche de la fierté LGBT. L’activiste Brenda Howard est connue comme la « Mère de la fierté » pour avoir organisé la première marche de la fierté LGBT et avoir eu l’idée de créer une série d’événements durant toute une semaine afin de célébrer la Journée de la fierté et l’anniversaire de la rébellion de Stonewall. Cela s’est depuis transformée en une célébration de la Fierté qui dure un mois au cours duquel les membres des communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC et leurs alliés organisent des évènements chaque année, en juin. Ces évènements à travers le monde entier commémorent les actions courageuses prises par des personnes pour combattre l’oppression et défendre les droits de l’homme et la dignité des membres des communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC.

En janvier 1979, Montréal et Vancouver ont chacun organisé une marche et un festival de la fierté, devenant ainsi les premières villes canadiennes à le faire. La « Hamilton Gay and Lesbian Alliance » (GALA) a organisé les premiers événements de la fierté à Hamilton en 1991 et a par la suite, organisé des événements annuels en juin pour le mois de la fierté, culminant avec un festival communautaire à Gage Park.

En juin 2019, les célébrations de la fierté à Hamilton ont été violemment interrompues par un groupe de manifestants haineux. Une enquête indépendante de la police de Hamilton est actuellement en cours pour investiguer sur la réponse de la police de Hamilton aux manifestations violentes et pour examiner la procédure, le leadership et la culture de la police de Hamilton. Même si il y a eu des progrès significatifs depuis la rébellion de Stonewall qui a initié le mois de la fierté, des événements comme ceux survenus lors de la Hamilton Pride en 2019 démontrent qu’il y a encore beaucoup de travail à faire pour combattre la discrimination et la haine. Le projet de justice Queer  » est dédié à l’éducation et à l’autonomisation des communautés bispirituelles et LGBTQIAPGNC de Hamilton et à l’amélioration de l’accès à la justice pour les membres de ces communautés.

Malheureusement, en raison de la pandémie de COVID-19, la façon dont nous célébrons la fierté cette année sera différente. Le 25 mars, Pride Hamilton a publié une déclaration indiquant que la « Fierté dans le parc 2020 », qui devait avoir lieu le 20 juin, a été annulée pour des raisons de santé publique. Malgré cela, des événements sont organisés pour célébrer les communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC et commémorer l’histoire de la Fierté, dans des espaces virtuels et des aires respectant la distance sociale. Nous reconnaissons qu’il est particulièrement important, en des temps comme ceux que nous vivons, d’établir des liens avec les gens et de leur réserver un espace, ainsi que de réfléchir à la résilience et à la force des communautés bi-spirituelles et LGBTQIAPGNC et de les célébrer.

Nous souhaitons à tous une Fierté sûre et heureuse,

Le projet de justice Queer, la clinique juridique communautaire de Hamilton

Sources:

Le mois national de l’histoire autochtone

«Juin est le Mois national de l’histoire autochtone, un moment où tous les Canadiens – autochtones, non autochtones et nouveaux arrivants – peuvent réfléchir et apprendre l’histoire, les sacrifices, les diverses cultures, les contributions et la force des Premières nations, des Inuits et des Métis. Il est important de garder à l’esprit que les Premières nations, les Inuits et les Métis ont chacun leur propre histoire. Et au sein de chaque groupe, il existe des histoires distinctes.» (Indigenous Corporate Training Inc.)

La clinique juridique communautaire de Hamilton (CJCH) s’est engagée en faveur des appels à l’action et des appels à la justice. «Le 24 mai 2016, le conseil d’administration de la clinique juridique communautaire de Hamilton a reconnu la Journée nationale des Autochtones comme un jour férié payé, conformément à l’Appel à l’action 80. La CJCH estime que la Journée nationale des Autochtones est une occasion de sensibiliser le public aux questions autochtones et de promouvoir l’inclusion. Cette décision représente les valeurs de la CJCH et notre engagement à « reconciliAction ». La CJCH encourage les organisations autochtones et non autochtones à envisager de faire la même chose». (Un cheminement vers la réconciliation – Rapport sur les appels à l’action.)

Comment est né le Mois de l’histoire autochtone ?

1982 : La Fraternité nationale des Indiens (aujourd’hui connue sous le nom d’Assemblée des Premières Nations) a demandé la création d’une Journée nationale de solidarité avec les Autochtones le 21 juin.

1990 : L’Assemblée législative du Québec reconnaît le 21 juin comme journée de célébration de la culture autochtone*.

1995 : La Commission royale sur les peuples autochtones a recommandé qu’une journée soit désignée comme Journée nationale des Premiers Peuples. L’Assemblée sacrée, une conférence nationale des peuples autochtones et non autochtones présidée par Elijah Harper, a demandé la création d’une fête nationale pour célébrer les contributions des peuples autochtones au Canada.

1996 : Le gouverneur général Roméo LeBlanc a proclamé que la Journée nationale des Autochtones serait célébrée le 21 juin de chaque année. «Le 21 juin, cette année et chaque année, le Canada rendra hommage aux peuples autochtones qui ont été les premiers à représentera l’humanité sur cette grande terre», a déclaré M. Leblanc. «Que les premiers peuples de notre passé soient toujours des partenaires fiers et entiers de notre avenir».

2008 : Le premier ministre Harper a présenté aux Canadiens des excuses au nom de tous les Canadiens pour le système des pensionnats indiens.

2009 : Par une motion unanime de la Chambre des communes du Canada, le mois de juin a été déclaré Mois national de l’histoire autochtone.

2017 : Le Premier ministre Justin Trudeau a annoncé son intention de changer le nom du mois pour celui de Mois national de l’histoire autochtone, reflétant ainsi une préférence nationale et internationale pour le terme  » indigène  » plutôt que «autochtone» en Anglais.

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire des autochtones qui n’a pas été enseignée dans les écoles ou si vous voulez apprendre l’histoire du point de vue des autochtones, il existe de nombreux rapports. Certains sont assez longs mais en valent le coût.

Rapports:

  1. Rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones https://www.bac-lac.gc.ca/fra/decouvrez/patrimoine-autochtone/commission-royale-peuples-autochtones/Pages/rapport.aspx
  2. Honorer la vérité, réconcilier pour l’avenir. Résumé du rapport final de la Commission Vérité et Réconciliation du Canada https://nctr.ca/fr/assets/reports/Final%20Reports/Honorer_la_vérité_réconcilier_pour_l’avenir.pdf
  3. Commission de vérité et réconciliation du Canada : 94 Appels à l’action https://nctr.ca/fr/assets/reports/Final%20Reports/Calls_to_Action_French.pdf
  4. Réclamer notre pouvoir et notre place : le rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées https://www.mmiwg-ffada.ca/fr/final-report/
  5. Comment en sommes-nous arrivés là? Un regard franc et concis sur l’histoire de la relation entre les peuples autochtones et le Canada- Le rapport provisoire du comité sénatorial permanent des peuples autochtones. https://sencanada.ca/content/sen/committee/421/APPA/Reports/APPAReport-Phase1_WEB_f.pdf
CJCH site

Nouveau site web de la CJCH

Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau site web de la CJCH.

C’est une partie importante de la célébration de notre 10e anniversaire.  Nous voulons que vous compreniez mieux nos valeurs, notre travail et comment accéder à nos services. Nous voulons également améliorer constamment nos services et nos communications.

Notre mission est de plaider pour le changement social. Nous nous y employons en fournissant des conseils juridiques et de la représentation aux individus. Nous menons également des activités systémiques en collaboration avec la communauté -notamment l’éducation juridique destinée au grand public, le développement communautaire et la réforme du droit. Nous voulons travailler avec vous pour améliorer la qualité de vie de tous.

Tout ce que nous faisons est basé sur un cadre de Anti-Racisme, Anti-oppression. Nous sommes résolus à plaider en faveur de changements systémiques et structurels à tous les niveaux de la société, pour mettre fin aux inégalités, aux déséquilibres de pouvoirs et à la domination enracinée.

Chaque semaine, au cours des prochains mois, nous allons présenter un domaine de notre pratique ou une initiative communautaire. Ces profils brefs illustreront notre travail et notre engagement envers la communauté.

Merci de nous rejoindre virtuellement pour célébrer 10 ans de justice inclusive. Nous attendons de nous réunir en personne dès qu’il sera possible de le faire en toute sécurité.

— Conseil d’administration et personnel de la Clinique juridique communautaire de Hamilton

 

10e anniversaire

10 Années de Justice Inclusive

Le 1er avril 2010, la Clinique juridique communautaire de Hamilton (CJCH) a commencé ses activités après avoir fusionné les quatre cliniques de Hamilton: Dundurn Community Legal Services, Hamilton Mountain Legal & Community Services et McQuesten Community Legal Services. Il est difficile de croire que 10 années se sont écoulées depuis que la CJCH est devenue une clinique unifiée! Nous obtenons des changements positifs et renforçons notre communauté en promouvant une justice inclusive pour tous les résidents vulnérables de Hamilton.

Nos services ont pour but d’atteindre les populations qui ont été ignorées et maltraitées de manière disproportionnée par notre système juridique. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir dire que nous avons établi des relations avec de nombreuses communautés pour fournir des services et lutter pour un changement systémique. Nous avons fait tout cela en travaillant au sein de ces communautés et avec elles.

Même si les « célébrations » ne sont pas appropriées ni possibles en ces temps difficiles, nous souhaitons tout de même mettre à l’honneur notre engagement et nos actions pour atteindre une justice inclusive. Nous attendons également avec grand intérêt le moment où nous pourrons célébrer ensemble, en partageant le pain et en nous honorant les uns les autres ainsi que nos histoires, et nous le ferons dès qu’il sera possible de se réunir quand il sera sécuritaire de le faire.

Nous sommes disponibles pour vous aider par téléphone 905-527-4572 et en ligne www.hamiltonjustice.ca/fr/contact